En Septembre 2012, je m’étais demandé sur ce blog s’il fallait transcrire ou non les actes que je récupérais et que j’utilisais pour sourcer mes recherches.
Les commentaires sur ce billet ont été nombreux – pour mon blog – et les avis étaient partagés.
Six mois plus tard, je ne me suis toujours pas décidée à transcrire systématiquement. Je n’arrive pas à m’y astreindre, cela me donnerait l’impression d’une obligation là où mes recherches ne sont que du loisir et du plaisir.
En revanche, j’ai mis à profit les conseils lus ici ou là, et l’excellent séminaire de paléographie auquel j’ai assisté avec Pierre Valery Archassal en février dernier, pour affiner ma méthode de transcription.
Là où auparavant je « traduisais », sans respecter ni l’othographe, ni même souvent la syntaxe, désormais je m’applique à réellement transcrire, en indiquant les lignes du texte, les mots abrégés, et en respectant toujours ce que j’arrive à décrypter de l’orthographe utilisée.
Je transcris tous les documenents notariés sur lesquels je peux mettre la main, ce qui est beaucoup plus passionnant que de transcrire un acte de mariage du 19ème siècle qui ne va me poser aucun problème de relecture.
Et j’essaie quand je finalise une ligne de vie pour un ancêtre particulier, de transcrire tous les actes repris dans cette ligne de vie.
A ce rythme, il est évident que la totalité de mes sources ne sera jamais retranscrite, mais au fond, quelle importance ?
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