Si vous suivez ce blog régulièrement, vous avez sans doute noté que ces derniers jours il a changé d’aspect : le graphisme est un peu différent, le menu en haut de page a évolué, et la page d’accueil ne vous propose plus la liste de mes articles.

Cette évolution correspond au lancement d’un nouveau projet -professionnel, mais à mi-temps – autour de l’ADN.

Lorsque je vous ai parlé d’ADN la première fois sur ce blog, en 2014, je n’imaginais pas que j’allais à ce point m’intéresser au sujet. Comme beaucoup, c’est la curiosité qui m’a poussée à faire un premier test ADN, pour savoir d’où venaient mes ancêtres lointains, ceux qui ont peuplé l’Europe. Mais quand les résultats sont arrivés, dans un premier temps, je n’ai pas compris grand chose. Au lieu de renoncer et de rester à la surface des choses, j’ai voulu aller plus loin et j’ai commencé à me former. Encore fallait-il trouver l’information, et les personnes susceptibles de partager leurs connaissances. De proche en proche, par internet, ou en assistant à des conférences à l’étranger – Rootstech, The Genealogy Show, MyHeritage Live, j’ai découvert Cece Moore, Blaine Bettinger, Diahan Southard, Leah Larkin, Michelle Leonard, Roberta Estes, et bien d’autres. J’ai regardé des heures et des heures de webinaires – tous en anglais – sur la plateforme Legacy Family Tree Webinars, ou sur les chaines Youtube d’Ancestry. J’ai lu des livres, particulièrement ceux de Blaine Bettinger et Diahan Southard. Et j’ai patiemment appliqué ce que j’apprenais.

Au fur et à mesure, je vous expliquais sur le blog ce que je découvrais, je partageais avec vous mes avancées.

Je pensais que l’interdiction légale qui continue à frapper l’utilisation en France des tests génétiques à visée généalogique empêcherait cette pratique de se développer dans l’Hexagone, mais ce n’est clairement pas le cas. On estime que plus de 100 000 personnes font un test chaque année en France. Et d’ailleurs, je vois de plus en plus de Français arriver dans mes correspondances ADN. Mais peu d’entre eux ont pris le temps de s’informer avant sur ce que le test pourrait leur apporter. Et beaucoup sont déçus de ne pas savoir ensuite exploiter leurs résultats, surtout quand le test ne répond pas juste à une curiosité, mais bien à une recherche généalogique, concernant un parent ou un grand-parent biologique.

La décision de me lancer dans cette aventure a été longue à mûrir. Était-il pertinent de le faire ? Avais-je suffisamment d’expérience pour vous aider ?

Ces deux dernières années, j’ai aidé deux personnes à aller au bout de leur quête. Je vous ai raconté l’histoire de la recherche du grand-père d’Emma dans deux vidéos.

Je vous raconterai bientôt comment j’ai aidé M. à identifier son père biologique.

Ce que j’ai fait pour Emma et M. je peux le faire pour d’autres. Pourquoi pas vous ?

Alors j’ai réfléchi à ce que je pouvais proposer, à l’organisation qu’il fallait que je mette en place, j’ai fait les démarches administratives et un peu modifié ce site, et aujourd’hui, officiellement, je vous en parle et vous propose mes services.

Je vous explique sur cette page ce que je vous propose, en termes de prestations et de tarifs.

Bien sûr, je vais continuer à partager avec vous ici mon expérience, mes découvertes, je vais continuer à vous proposer des vidéos aussi pédagogiques que possibles. Les recherches généalogiques à partir de l’ADN en sont encore à leur début, tout est à découvrir.

N’hésitez pas à me solliciter si vous avez un projet – avant de faire un test – ou si vous avez déjà fait un test, mais ne savez pas aller plus loin. Ensemble, nous définirons la meilleure stratégie à mettre en place pour répondre à votre question.